ACTU
Faut quand même être con pour payer un resto 2 fois plus cher juste parce que quelqu’un un Américain a dit que c’était le jour où fallait s’aimer. À croire qu’un bon risotto aux truffes fait un bon coït…
Je veux continuer d’écrire nénufar nénuphar sans “f”, parce qu’on me l’a appris et que…
J’ai jamais aimé le vendredi 13. Je suis sûrement trop superstitieuse. J’ai toujours craint les chats noirs, et j’en aurai encore plus peur dorénavant. À l’avenir, les vendredis 13 me rappeleront toujours ce macabre soir de Novembre où l’horreur a remplacé les mots.
Elle est là ! Non, pas la peste, ni la grippe, ni la nouvelle tempête…
Vous l’avez sûrement constaté, ces dernières semaines ont été assez laconiques sur Madmoiselle Julie et…
À peine le calendrier a-t-il affiché “1er Octobre 2015” que tout semble s’être emballé à…
Ce matin encore, affronter la population n’a pas été chose aisée. Parfois, je m’imagine vivre…
Aussi soudain qu’un tsunami, qu’un incendie en plein hiver ou qu’un selfie d’Afida Turner posté…
Exit les bourgeoises qui se prennent pour des hippies parce que “le look bohème, c’est…
Finalement, ouais, la nostalgie ça a du bon. Au nom de Brenda, Dylan, Donna, Kelly, Prue, Piper, Phoebe, Rachel, Joey, Buffy, Drazic, Anita, et les autres, je le proclame : se plonger dans le passé, c’est comme partir en vacances : mieux vaut vite en revenir avant d’y prendre goût.
Très cher Uber, on ne se connaît pas encore très bien toi et moi. Je ne sais pas si tu te souviens, mais notre relation a commencé il y a quelques mois de ça, à Paris. Quand je sortais du Nüba à 2 heures du matin, tu as toujours répondu présent. Quand j’étais ivre en sortant du Starnight (Palace), aussi. Jamais tu n’as trahi ma confiance. Tu as toujours été clair depuis le début, tu ne m’as jamais pris pour une imbécile. À chaque fois que je t’ai appelé, tu as su combler mes attentes, pris les choses en main, pris les bonnes décisions quand je ne pouvais pas les prendre.
Un monde sans taxi est-il envisageable ? Agnès Saal de l’INA vous dira évidemment le contraire, tout comme les gens assez friqués pour s’en payer un pour aller bosser, mais pas assez pour s’octroyer les services d’un chauffeur, mais aussi ceux qui ne savent pas boire modérément (et tiennent à leur vie et ne connaissent pas de Sam), sans oublier celles qui préfèrent éviter les ruelles désertes pour rentrer chez elles au-delà de minuit. Souvent très utiles voire indispensables, les taxis doivent-ils pour autant tout se permettre ? Petit mise au point avec une liste de conseils (testés et approuvés).