Pourquoi tu ne regretteras pas d’avoir raté Coachella

Coachella, le nouveau Woodstock selon certains, est un peu le paradis de la couronne de fleurs, de la colorations de cheveux éphémère rose ou bleue, du micro-short, du haut de bikini, du chapeau. Ses palmiers te font rêver ? Ses filles dévêtues et ses barbus stylés aussi ? Rassure-toi, l’herbe n’est pas forcément aussi verte qu’il n’y paraît.

Bernard de la Villardière, l’idole des jeunes

On est toujours le con de quelqu’un d’autre. Cette expression m’a toujours fascinée tant elle dit vrai. Et il le sait bien, Bernard. Souvent copié, jamais égalé, il rend les dimanches soir sur M6 plus graves, plus périlleux, avec ses Enquêtes exclusives à coups de punchlines, de clichés, de ghettos, de nouveaux gangs, de gros dealers. Le pire, c’est qu’à se prendre trop au sérieux, il en devient drôle à son insu.

Lettre à ces gens que l’on croise sur les réseaux sociaux

Cher toi, tu te reconnaîtras peut-être (sûrement) dans les lignes. qui vont suivre. Ne prends pas mal ce que tu prendras pour de la moquerie quand il ne s’agira en fait que de cynisme. Un jour, tu changeras, ou pas. Mais pour l’heure, j’ai décidé de t’expliquer les deux trois trucs que tu fais sur les réseaux sociaux et qui m’exaspèrent un peu parfois.

Tidal : La mauvaise foi du show biz a un nom

Avec son site de streaming musical, Jay Z a surtout élaboré un plan marketing bien rôdé, le genre de plan de com’ qui laisse sous entendre : “si vous voulez être hype comme nous, faites comme nous”. Oui mais non.

5 moments d’incertitude que tu ne vis qu’à Paris (ou presque)

Paris est magique. Les supporters du PSG ne croient pas si bien dire. En plus de nous donner l’illusion quasi-permanente de plonger dans un livre d’Histoire avec ses monuments à chaque coin de rue, la ville Lumière est aussi une expérience unique pour ceux qui n’y vivent pas à l’année – et n’ont donc pas réellement le temps de subir le train-train métro/boulot/dodo avec tout ce qu’il comporte comme inconvénients. Oui, Paris est une expérience à part. Même s’il est difficile de comparer une ville à une autre, voici au moins 5 choses qui la rendent unique…

Lettre à Simon Porte Jacquemus

Cher Jacquemus, je t’aimais bien. Ta collection “parasols de Marseille” l’été dernier, ambiance retour à la plage du Prophète ou des Catalans dans les années 70, pour le coup, pourquoi pas. Sans chauvinisme aucun, la nostalgie des bords de mer de ton enfance m’avait plus ou moins touchée. Mais là, sincèrement, que s’est-il passé ?

Non, ce n’est pas ça être “Marseillais”

Ils font leur grand retour, perles à l’appui, de 18h50 à 20 heures sur W9 : Les Marseillais sont partis pour nous faire vivre encore quelques semaines de fous rires pour une nouvelle saison en Thaïlande. Brassant un ramassis de clichés et de stéréotypes plus grands que la Bonne Mère, l’émission offre un faux aperçu des habitants de la cité phocéenne. L’heure est venue de faire le point.

Une vie sociale et sobre est-elle encore possible ?

Au début, tu étais ivre au bout d’un verre en boîte le samedi soir. Mais ça, c’était à l’adolescence, quand tu pensais te saouler avec une Smirnoff ice, une Despé ou un Malibu ananas. Peu à peu, sans pas vraiment t’en rendre compte, tu as multiplié les cuites, passant de deux jours par semaine à tous les deux jours (dans les moments où tu es le plus en forme). Mais du coup, tu commences sérieusement à te poser des questions : est-il réellement possible de fréquenter des gens et de sortir au-delà de 20h en buvant du Perrier ?

L’enfer des “…”

Ta vie a changé la première fois où tu les a lus sur l’écran de ton téléphone portable. Toi-même, tu as été conscient du tremblement de terre que tu allais déclencher en appuyant sur le bouton “envoyer” après avoir tapoté 3 fois de suite sur la même touche. Que l’on soit expéditeur ou destinataire, on a tous connu au moins une fois dans sa vie l’enfer du SMS le plus simple qui soit, et le plus complexe à la fois : les fameux “…” Et pire, ceux qui veulent dire aussi, désormais : “veuillez patienter, votre correspondant est en train de vous répondre”.

Putain, 30 ans !

On t’en a servi des “tu verras, à 30 ans…”, on t’en a balancé des sermons parce qu’une fois passé 25 ans, t’es toujours célibataire, toujours pas propriétaire, encore moins titulaire du permis B ni enclin à donner la vie – ni enclin à l’engagement tout court, pour simplifier. Toi, en fait, tu comprends pas trop d’où vient ce sacro-saint schéma social qui veut qu’à 30 ans, on ait complété le pack dit du triple M “mariage/mioche/monospace”. Et pire encore, à 30 ans, t’as plutôt décidé de faire tout l’inverse.

J’veux pas vous affoler, mais…

Déjà que la liberté d’expression est sérieusement remise en cause, faudrait pas déconner non plus. Je crois bien que 2015 s’annonce très mal barrée. Après un mois de janvier épouvantable, et tout ce qui en a découlé (découlé, ou plutôt dégueulé, craché, vomi…) d’aussi abject , février approche à grands pas et, sans être encore arrivé, pousse déjà la sonnette d’alarme. Il y a des choses follement futiles, comme la mode et la Fashion Week, certes, mais elles aussi semblent traverser une zone de turbulences cette année. Explications.

Comment survivre en open space ?

S’affranchir des murs et des cloisons pour vivre tous ensemble, pour le pire et pour le meilleur. C’était un peu la fausse promesse des mecs (les frères Schnelle, dans les années 50) qui ont inventé cette nouvelle manière de vivre ensemble. Sauf que, dans la pratique, la réalité est évidemment toute autre. Enterrant à tout jamais le commandement selon lequel “tu aimeras ton prochain”, ces bureaux sans cloisons sont loin de garantir un monde sans haine ni violence. Bien au contraire. La preuve par 5.