Trentemoller

Pépites du week-end #029 : Lazy

Lazy : adjectif anglais, que l’on traduira par “paresseux, fainéant”. Après la dinde de Thanksgiving et l’overdose d’achat du Black Friday, ce samedi se vivra à l’horizontale ou ne se passera pas. Première étape, lumières tamisées, bougies allumées, chauffage enclenché, et boisson chaude à proximité. Deuxième étape : glisser votre corps tout entier sous la couette, en prenant garde à bien garder vos pieds et mains au chaud. Troisième étape : enclencher la playlist du week-end spécialement pensée pour l’occasion, où Husbands, NZCA/Lines, College ou Sascha Funke, entre autres, vous susurreront des mots doux sur l’oreiller…

Marsatac Jour 3 : Kid Francescoli, Trentemøller, Ewan Pearson, Gesaffelstein, Acid Arab

La boule à facettes a arrêté de tourner. Le Magic Garden du Waaw a cessé de faire des bulles et de distiller ses Spritz fumants. Le Cabaret Aléatoire et la Cartonnerie ne sont plus enfumés, ils ont fermé leur porte. Les escaliers qui mènent à la salle RBMA ne résonnent plus sous les pas des festivaliers excités. Les bénévoles et les orgas ont droit à leur repos bien mérité. Les camions de hot dogs ne fument plus. Les paillettes collent encore. Après trois jours effervescents, le 16e édition de Marsatac s’est soldée tel un bouquet final. Transportés par Kid Francescoli, un peu en apesanteur. Réchauffés par les maîtres Shit Robot ou Ewan Pearson. Suspendus dans le temps et l’espace grâce à Trentemøller. Survoltés devant Gesaffelstein, tout de noir vêtu derrière son grand pupitre. Exaltés face à Acid Arab et leur “transe orientale”… Retour sur les derniers instants du festival, en images. À l’année prochaine Marsatac !

Calvi on the rocks 2013 • Report photos (2)

Calvi on the Rocks, ce n’est pas que la plage, les virées chez Tao et les allers-retours vielle ville/port/pinède de 20 heures. Le festival est avant tout l’occasion de voir l’un des plus beaux line-up, les pieds dans le sable ou au pied de la Citadelle, au Théâtre de Verdure. Voici une carte postale souvenir de quelques artistes en DJ sets ou en live

En route pour les festivals (10/11) : Rock en Seine

La fin de la saison des festivals est proche. Mais avant de retourner calmement à nos occupations de rentrée, place à l’un des évènements musicaux majeurs de la région parisienne : Rock en Seine. Pour sa neuvième édition, le festival qui se déroule au Domaine de St Cloud propose une programmation hallucinante – certainement la meilleure de l’été, d’ailleurs. Chaque soir sur 4 scènes, de vendredi 26 à dimanche 28 août, se relaieront notamment Archive, Arctic Monkeys, The Kills, Miles Kane, Funeral Party et General Elektriks (pour la partie rock) et CSS, Wu Lyf, Trentemoller, Paul Kalkbrenner, The Horrors, et Yuksek (pour la partie électro)…

Mood Manifesto #8 : La Croisette électronique.

Cannes, sa Croisette, et son Palais des Festivals ne vibrent pas qu’au mois de mai. Un autre festival a su rendre la côte cannoise plus électrique que jamais : depuis maintenant 10 ans, Pantiero reçoit artistes émergents et talents confirmés de la scène électronique et indie rock. Pas de feu d’artifices ou de festivités en grande pompe pour ce dizième anniversaire : juste un line-up maîtrisé et des instants frénétiques en musique… Place au débrief.

Pépites en mode off #36 : Full Moon

On dit qu’elle peut influencer nos comportements, générer des insomnies, déjanter nos rythmes biologiques… La pleine lune sert aussi de prétexte à des milliers de fêtards pour investir des plages de Thaïlande ou de Corse sur des sets endiablés. Justement, la plage du Moorea à Ajaccio accueille samedi 13 août dès 18h de nombreux DJs (Edouard Rostand et Dj Oil notamment) pour sa Full Moon Party, où l’on pourra siroter une Singha, la fameuse bière thaï. Vous vous y voyez déjà…? Pour l’heure, la trilogie musicale de cette semaine dévoile sa face la plus lunaire…

En route pour les festivals (8/11) : Pantiero

Il y a le ciel, le soleil et la mer… Si une chanson devait caractériser le festival Pantiero, ce serait bien celle-là. Pour son dixième anniversaire, il accueillera à partir de mercredi des artistes triés sur le volet : des jeunes talents de l’électro, comme la Femme, aux pointures comme Paul Kalkbrenner ou Nathan Fake… La terrasse du Palais des Festivals de Cannes risque fort de trembler pendant ces 4 jours explosifs.