Neil Krug

À double sens #13 : Black & Alt+J

On dit qu’il n’est pas une couleur, comme le blanc. Pourtant le noir est partout, de la nuit aux vêtements aux fameux trous énigmatiques qui peupleraient notre galaxie. À Marseille, il est le nom d’une dame, à Paris il est la couleur de prédilection de la maison Chanel, qui l’a choisi pour habiller son nouveau parfum Coco, en hommage à celle qui avait fait de cette petite robe noire (elle aussi) un véritable mythe. Mère de l’espoir, et ce quoi qu’on en dise, la couleur noire habille la sélection de visuels de cette semaine, et s’accompagne du dernier clip d’Alt+J, Something Good

Pépites en mode off #70 : Artifice

Peut-on vraiment considérer la musique comme un artifice ? Tout bon dictionnaire vous dira qu’un artifice est un moyen habile destiné à tromper. En tous cas, la musique a ce don presque divin de nous mener d’une émotion à l’autre avec plus d’adresse que le meilleur des acteurs. À l’image de cette photo de Neil Krug (ci-dessous), la musique est une femme séduisante qui rallie hommes et femmes, peu importe leurs goûts. Cette semaine, la playlist en trois temps du week-end sort ses plus beaux apparats  : Hot Chip se fait remixer par Four Tet, Kolombo et Compuphonic lancent leur feu d’Artifice pendant que Get a room! fait crépiter le coucher de soleil avec un mix enregistré sur la plage de Calvi

Trois albums pour bien terminer l’été (2/3) : The Horrors

Après un premier épisode consacré aux albums pour bien terminé l’été qui distillait les bonnes ondes de Foster The People, place à un volet nettement plus rock avec le dernier opus des Britanniques de The Horrors. Deux ans après Primary Colours, ils reviennent nous livrer leur krautrock teinté de new-wave avec Skying. De la pochette (signée Neil Krug) au tonitruant premier extrait Still Life, tout laisse à penser que leur album trônera un moment du côté de nos platines.

Devendra par Neil Krug

Fan de cowboys, de plumages, de photographie lomo, de Polaroïd… tout cela n’est pas incompatible. La preuve avec les clichés du jeune Neil Krug, tout juste âgé de 25 ans. Après son Pulp Art Book (dont je vous parlais ici), il a réalisé un shooting du chanteur américain Devendra Banhart, dans un esprit seventies et psychédélique aux accents hippie

Polaroïd is not dead ?

Les fameux instantanés aux couleurs vintage auraient pu ne plus jamais saisir les plus beaux moments de milliers d’inconnus (ou non). Jusqu’à ce que The Impossible Project de Florian Kaps vienne tout bouleverser en Juin 2008, et permette la réouverture d’une usine aux Pays Bas et la recherche de nouveaux procédés de fabrication. Halte au numérique, la photo instantanée reprend du service et les polaroïds sont les nouveaux clichés à la mode. Retour sur le phénomène…

Cowboys & Indiens par Neil Krug

Ce jeune photographe de 25 ans signe une série de clichés pour le art book Pulp, un projet de livre de photographies réalisé sur du papier psychédélique. Pour ce shooting, il utilise une vieille pellicule de Polaroïd, qui donne un air jauni terriblement vintage et naturel.