Turzi

Pépites du week-end #44 : April Come She Will

En 1966, Paul Simon composait April Come She Will, morceau le plus court de l’album Sounds of Silence de Simon & Garfunkel et qui fit plus tard partie de la bande originale du film Le Lauréat de Mike Nichols. Et c’est justement ce titre qui donne son nom à la playlist du week-end cette semaine, et qui accompagne à merveille la photo qui l’illustre. Ce vendredi, les dix pépites de la sélection musicale hebdomadaire sont aussi fraîches que le printemps : de Sailor & I à la collab entre Abstraxion et Kasper Bjorke au talentueux Flavien Berger, qui s’apprête à sortir son nouvel album, en passant par les remixes de Zombie Zombie, Holy Ghost!, Flume, The Twelves, Dimitri from Paris et le retour des Américains de Tanlines.

Pépites du week-end #037 : Allers retours

C’est l’histoire d’un retour. Comme les saisons qui reviennent l’une après l’autre fatalement, comme les modes qui se suivent et se ressemblent, comme le week-end qui clôt toutes les semaines de nos vies. Comme les marées dans leur incessant flux et reflux. Comme le Jedi dans Star Wars. Comme Marty McFly vers le futur. Cette semaine, la playlist du week-end met à l’honneur 10 artistes ou groupes qui ont décidé de revenir enchanter nos oreilles en 2015 : Chateau Marmont, Compuphonic, Summer Heart, Rone, Turzi, Prins Thomas, La Mverte… Comme l’été, on aimerait qu’ils ne repartent jamais.

Pépites du week-end #031 : No Dub Today

Plus longue que le succès de Dubsmash, Bitstrips et confrères, plus judicieuse qu’une cuite un dimanche soir, plus rythmée que la voix d’Étienne Daho, la playlist du week-end revient cette semaine sous l’œil averti de Christy Turlington et dévoile dix tracks et remixes triés sur le volet. Les derniers Turzi, Villanova, Zombies in Miami, mais aussi de vieilles pépites revues et corrigées (Raymonde et les Moutards de 1983) ou un morceau en live de SBTRKT pour clore le tout… Le tout garanti sans dub(step, smash).

Pépites en mode off #41 : L’exil

Tellement abstrait mais toutefois efficace, l’exil que trouve l’homme dans la musique pourrait se résumer en une suite de mots. Une échappée belle. Un hasard fugueur. Une évasion sensorielle. Lâcher prise. Une douce rêverie. Une fugue en rythme. Une berceuse cadencée. Une extase intérieure. Les sons trouvent leur instant de gloire au sommet de l’échelle du plaisir sensoriel. En moins de 14 minutes, Marius, Turzi et Paradis vous font atteindre le Nirvana. Enclenchez le bouton play, vos pieds ne touchent déjà plus terre…