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Comme un lundi #45

Pour commencer la reprise 2016 du bon pied, Comme un lundi, la sélection de 10 jolis…

L’Amérique vue par Stephen Shore

Photographe américain, Stephen Shore s’est distingué en prenant le parti de faire des clichés en couleur à l’époque où le noir et blanc était plus largement utilisé. Il est aussi devenu célèbre en choisissant l’aléatoire à l’esthétique, considérant que “tout mérite d’être photographié”. Autodidacte, il se met à la photo à l’âge de 10 ans à peine et rencontre sept ans plus tard Andy Warhol, dont il immortalise la Factory, son atelier, dans les années 60. Il a également pris des photos de l’Amérique sous toutes ses coutures. Rétrospective de quelques uns de ses plus beaux clichés…

Comme un lundi #32

Toujours le même refrain, toujours la même ritournelle. Le lundi est une gueule de bois hebdomadaire, un mauvais réveil, une sortie d’anesthésie en bad trip. Le lundi est une tasse de café renversée, un Efferalgan jeté par mégarde dans un verre de whisky glace, un barbecue avec de la viande perimée. Bref, le lundi est une erreur. Pour se sortir de cette mauvaise rengaine, la rubrique hebdomadaire “Comme un lundi” prend le contre-pied de ce mauvais karma et dévoile 10 jolis visuels à contempler en écoutant le mix de Lucien “Papalu” pour Radio Marais.

Comme un lundi #31

Pour commencer la semaine sur un bon karma, la nouvelle édition de Comme un lundi est d’humeur dansante avec un mix de Radio Cómeme à écouter en contemplant dix jolis visuels triés sur le volet.

Comme un lundi #30

Si j’étais présidente, je crois que je militerais activement contre la dictature du lundi – et tout ce qui va avec : les gens qui soupirent ou qui baillent sans fermer la bouche (et en faisant du bruit), ceux qui sont (toujours) plus pressés que toi et qui te coupent la route, les cafés dégueulasses de la machine, la tartine qui tombe par terre (et toujours du mauvais côté), les bouchons sur l’autoroute, les gens qui râlent (et dont je fais partie, du coup).

Comme un lundi #29

À nouvelle semaine, nouveau, numéro de “Comme un lundi”. Cette fois, la sélection visuelle hebdomadaire accompagnée d’un mix imagine des alternatives. Imaginez tout ce que vous pourriez faire, au lieu d’être coincé dans les bouchons – ou blotti sous votre couette. Manger votre petit dej sur un plateau à bord d’un cabriolet, faire du cheval dans l’eau, en robe blanche, plonger en pull dans une piscine d’eau chaude, tomber face à face avec Leonardo DiCaprio, bronzer en short comme Françoise Hardy, porter des escarpins qui brillent, vous acheter une lampe en forme de cône glacé, contempler toute la beauté des palmiers sous le soleil, errer sur la Salvation Mountain ou déguster une glace aux couleurs de l’arc-en-ciel. Pour vous donner encore plus l’illusion que tout cela n’est pas un rêve, Polo & Pan seront vos serviteurs avec l’un de leurs derniers mixes sur Radio Marais. 

Comme un lundi #28

Toujours le même refrain. Toujours ce réveil qui sonne trop tôt. Toujours cette machine à café qui ne travaille pas assez vite à votre goût. Toujours ce froid glacial dehors qui vous fait le même effet qu’un shot de vodka un jeudi soir. Toujours ces poubelles marseillaises qui dégueulent sur les trottoirs. Toujours ce buraliste qui ne répond pas à votre “bonne journée” après que vous lui ayez lâché 21 euros pour 3 paquets de clopes. Toujours ce vieux au kiosque à journaux qui prend son temps devant vous pour discuter de la dernière Une du Figaro. Toujours le même lundi. Et comme chaque semaine, place à 10 beaux visuels à contempler en écoutant un excellent mix du duo californien Ricoshëi

À double sens #25 : Hôtels + Foals

Certains sont devenus mythiques pour les couples plus ou moins légitimes qu’ils ont hébergé, ou par leur seul nom : Heartbreak Hotel, Hôtel Amour ou Chevalier, Château Marmont… Pour accompagner le dernier clip de Foals, Late Night, qui filme des scènes plus ou moins violentes dans les chambres d’un hôtel roumain, la sélection visuelle À double sens ne frappe pas avant d’entrer et dévoile 16 clichés de motels californiens, de scènes de films ou de moments privés de stars, comme Marilyn ou les Rolling Stones, dans des suites désormais cultes. 

À double sens #17 : Sous l’eau & The xx

Élément indispensable à notre survie, composant essentiel de notre organisme et de notre planète, l’eau est aussi vitale que sa pénurie pourrait causer notre perte. Sans se permettre quelconque morale environnementale, la sélection À double sens de cette semaine prend son élan grâce au dernier clip de The XX “Chained”, qui nous emmène dans de sombres profondeurs. L’occasion pour les 11 visuels de faire le grand plongeon et de nous emmener dans des abysses esthétiques…

À double sens #15 : Leopards & Grizzly Bear

Diviser pour mieux régner : si le motif léopard était un homme politique, telle serait sa devise. Car à chaque nouvelle saison, il séduit les uns (Kate Moss, Alexa Chung, Chloé Sevigny…) et scandalise les autres. Sauvage et décalé, les premiers le trouvent audacieux, tandis que pour les seconds, il n’est que faste et vulgarité. La sélection “À double sens” de la semaine met tout le monde d’accord : les 12 visuels triés sur le volet séduiront les fans de la première heure de ce léopard qui court plus vite que son ombre dans la sphère mode, tandis que ses détracteurs se délecteront du dernier clip de Grizzly Bear

À double sens #9 : Boats & Tiger Love

Avant-dernière session estivale pour la rubrique À double sens qui propose cette semaine de prendre le large. Après le surf, place aux bateaux : côté pile pour la vue, une sélection iodée de 10 visuels sur le thème “sailor” avec ses capitaines plus ou moins connus, ses petites embarcations ou ses ancres marines. Côté face, pour combiner l’ouïe et la vue, le clip Summer Rain des Londoniens de Tiger Love, réalisé en VHS, nous emmène aux confins de l’électro pop, comme si MGMT avait (enfin) grandi / mûri…

À double sens #7 : White & The Johnsons

Comme chaque mercredi, le nouveau rendez-vous des sens met à l’honneur un thème visuel accompagné d’un clip. L’essence de ce nouveau numéro, le blanc, trouve toute sa profondeur sensorielle en se confrontant à son pire ennemi, la noirceur d’un univers entre tristesse et violence. Alors si les huit visuels triés sur le volet ont pour point commun la couleur immaculée, ils s’évaporent un en claquement de doigts dès que s’ouvre le nouveau clip d’Antony & The Johnsons, Cut the World