hiver 2015

Noël 2015 : sélection de dernière minute

Le jour J approche à grands pas, les magasins ne désemplissent plus, l’angoisse monte… La…

Winter 2015 Playlist

Un manteau (doux). Un verre de vin (vite vide). Un feu de cheminée (crépitant). Une…

Vans : chaussés pour l’hiver !

À chaque saison sa paire de Vans ! Cet automne / hiver, deux options s’offrent…

L’hiver 2015/2016 d’Isabel Marant

On prend les mêmes et on recommence ! C’est un peu le leitmotiv d’Isabel Marant…

Lettre à Simon Porte Jacquemus

Cher Jacquemus, je t’aimais bien. Ta collection “parasols de Marseille” l’été dernier, ambiance retour à la plage du Prophète ou des Catalans dans les années 70, pour le coup, pourquoi pas. Sans chauvinisme aucun, la nostalgie des bords de mer de ton enfance m’avait plus ou moins touchée. Mais là, sincèrement, que s’est-il passé ?

Dolce & Gabbana célèbre la Mamma

Des femmes et des enfants : contre toute attente, la dernière collection de Dolce & Gabbana lors de la Fashion Week de Milan pour l’automne hiver 2015 / 2016 a créé la surprise en faisant défiler des femmes, tout de noir vêtues, avec des enfants dans les bras.

La Mode peut-elle tout oser ?

Isabel Marant avait revisité la Birkenstock de luxe à 290€, puis elle avait tenté l’imitation de Stan Smith à 280€. Jacquemus lui a emboîté le pas avec d’improbables créations hors de prix, parmi lesquelles la veste oreille bleu klein Jacquemus à 615€, alors que, l’hiver dernier, c’est Carven qui laissait tout le monde (ou presque) perplexe avec son manteau peignoir rose bonbon, façon sortie de bain du dimanche soir. L’improbable fait-il vendre ? La Mode (avec un grand M) peut-elle tout oser ? Voici 3 constats pour tenter de s’en dissuader.

Les petits chaperons de Dolce & Gabbana

Toujours aussi scintillante, la collection de l’hiver prochain de Dolce & Gabbana nous invite dans une forêt merveilleuse. Lors de la dernière Fashion Week milanaise, Domenico Dolce et Stefano Gabbana ont imaginé un véritable conte de fées lors de ce défilé baptisé “Sicile enchantée”. Capuche vissées sur la tête, les mannequins ressemblaient à des petits chaperons (pas forcément rouge) comme tout droit sortis d’un rêve quatre étoiles…