catwalks

Jeux de dentelles

Baroque et romantique, tels pourraient être les deux qualificatifs de l’été prochain. Chez Valentino, le duo de directeurs artistiques Maria Grazia Chiuri et Pier Paolo Piccioli fait la part belle aux robes et blouses brodées, en dentelle, en tulle, en organdi, où le nude est une fois de plus à l’honneur. Même idée chez Louis Vuitton, où Marc Jacobs imagine un conte de fées où les princesses sont vêtues de robes et de jupes en dentelle dans un manège enchanté aux couleurs pastels…

Pépites en mode off #40 : Catwalks

Fashion Week oblige, la sélection musicale du week-end, les Pépites en mode off, se mettent à l’heure new-yorkaise. Le défilé de Michael Kors pour le printemps été 2012 imagine une mode amazone, où les tons les plus naturels viennent se poser sur des matières fluides. Jamais mode et musique ne s’étaient marié aussi bien. Alors que déambulent sur le podium des robes et djellabas d’une femme tout droit sortie d’un safari chic, la bande son résonne en écho et modernise l’ensemble. Explications en trois temps.

2010, année Miranda Kerr ?

Sa plastique de rêve, ses yeux turquoise et son air mutin n’ont pas séduit qu’Orlando Bloom. Car même avant leurs noces en juillet dernier, les deux connaissaient le succès dans leurs carrières respectives. Tout semble sourire à Miranda Kerr : les contrats s’accumulent. Elle a même été élue parmi les tops models les mieux payées de la planète par le magazine Forbes.

Interrogation Ecrite #5 : Relevé de notes

Cette cinquième édition des interrogations écrites levait le voile sur l’envers du décor de la mode et de ses exigences. Ce mois-ci vous avez été 12 élèves sages et disciplinés à répondre à la question “la mode est-elle une affaire de taille ou de style” ? Pour commencer, merci à tous pour vos copies. Voici les résultats. Qui a remporté le collier “Circus” de la marque Vadi Jewels ? La réponse ici…

Eté 2010 Couture : La lune noire de Givenchy

C’est un défilé plein de lumière qu’a imaginé Riccardo Tisci pour le printemps été prochain. Un catwalk en noir et blanc, saupoudré de beige rosé, comme un duel manichéen entre la nuit et le jour, le mystère et la clarté. Car s’il y a bien une chose que déteste le directeur artistique de la Maison Givenchy, c’est la demi-mesure. Pour ce défilé Haute Couture, il a vu les choses en grand, tout en constraste.