amour

Jane Birkin et Serge Gainsbourg, l’amour toujours

Alors que vingt-cinq années se sont déjà écoulées depuis la disparition de Serge Gainsbourg, ses…

Cupidon s’habille en Prada

Faut quand même être con pour payer un resto 2 fois plus cher juste parce que quelqu’un un Américain a dit que c’était le jour où fallait s’aimer. À croire qu’un bon risotto aux truffes fait un bon coït…

Le noir est le refuge de la couleur

J’ai jamais aimé le vendredi 13. Je suis sûrement trop superstitieuse. J’ai toujours craint les chats noirs, et j’en aurai encore plus peur dorénavant. À l’avenir, les vendredis 13 me rappeleront toujours ce macabre soir de Novembre où l’horreur a remplacé les mots.

Putain, 30 ans !

On t’en a servi des “tu verras, à 30 ans…”, on t’en a balancé des sermons parce qu’une fois passé 25 ans, t’es toujours célibataire, toujours pas propriétaire, encore moins titulaire du permis B ni enclin à donner la vie – ni enclin à l’engagement tout court, pour simplifier. Toi, en fait, tu comprends pas trop d’où vient ce sacro-saint schéma social qui veut qu’à 30 ans, on ait complété le pack dit du triple M “mariage/mioche/monospace”. Et pire encore, à 30 ans, t’as plutôt décidé de faire tout l’inverse.

Raffinement à son comble pour Valentino

D’un romantisme quasi théâtral, le défilé Couture du printemps 2015 de la Maison Valentino a atteint des sommets dans l’élégance. Comme tout droit sorties d’une pièce de Shakespeare, les robes font honneur au rouge Valentino, mais aussi à l’or, aux fleurs – qu’elles soient cousues ou dans les cheveux – et surtout à l’amour, qu’il s’exprime en italien ou en russe…

Comme un lundi #25

Immortels 7, 9 et 11 janvier. Unie et forte, la France s’est levée, s’est battue, est descendue dans la rue, rendant hommage à ses héros, disparus ou non, connus ou anonymes. Qu’importe leur religion, leur couleur de peau, leurs idées. Avec ce même leitmotiv, celui d’enterrer à tout jamais le terrorisme, la peur, la lâcheté la plus vile. D’hier, ce 11 janvier 2015 désormais inscrit dans l’Histoire, je me souviens du froid qui transperçait nos vêtements et de ce Mistral qui soufflait dans nos cheveux, comme pour nous rappeler la mort glaçante. Le ciel était dégagé, l’espoir était là, et les lignes dans le ciel, ce ciel rosé en fin de soirée, les yeux tournés vers les nuages, nous rappelaient les noms de ces 17 victimes qui résonneront encore toujours en nous. Parce que les lendemains ne seront plus jamais pareil, le premier article de cette nouvelle semaine fait souffler un vent de paix sur vos écrans. À écouter avec le mix d’Ivan Smagghe qui débute avec un titre symbolique : “We Have All The Time in the World” de My Bloody Valentine. Aimons nous vivants.