MARSATAC

{Interview} Hyphen Hyphen, la musique pour cri de guerre

C’est pendant un cours de latin que ces 4 jeunes Niçois tout juste sortis du lycée ont trouvé leur nom de scène, qui signifie “trait d’union”. Et si l’on dit que l’union fait la force, cela est d’autant plus vrai lorsqu’on voit l’explosive alchimie qui opère sur scène. Après Calvi On The Rocks, Hyphen Hyphen continue sur sa lancée des festivals et a investi la scène du festival Marsatac pour le dernier soir. Après un premier EP concluant, Chewbacca I’m Your Mother, ils continuent d’invoquer les esprits de l’électro rock et en préparent un second avant de partir à Londres, où ils feront l’ouverture du Baron. L’occasion de faire le point avec Santa, Puss, Line et Zack juste avant leur live à Marsatac…

Dossier spécial Marsatac 2011

Marathoniens : voilà qui pourrait qualifier les quatre jours passés à Marsatac. La tête pleine de souvenirs, les pieds usés, les poumons enfumés, mais plus que jamais avec le sourire, on reprend lentement des forces, on fait le point. Pas facile de se rappeler de tout, vu nos longues journées passées de 15h environ jusqu’à 6h du matin sur place, voguant entre l’espace pro, l’espace presse, le bar, le Cabaret Aléatoire, la Salle Seita, l’Esplanade, la Cartonnerie, avec quelques passages par la rue intérieure.… Débriefs, interviews, photos des concerts… La 13e édition au complet ici !

{Interview} The Creators Project fait trembler Marsatac

Nouveau partenaire créatif du festival Marsatac, The Creators Project, un concept alliant art numérique, design, musique et technologie, a été créé par Intel et Vice. Cette année pour la treizième édition du festival, ils ont eu pour mission d’aménager l’espace de la rue intérieure. Plus sombre que jamais, l’allée empruntée par tous les festivaliers avait laissé tomber ses boules à facettes aux allures de stromboscope : cette année, Creators Project fait appel à H5 (Logorama) pour réaliser “des slogans martiaux, des spots de lumière crue et culpabilisante et des messages vocaux injonctifs proférés par des haut-parleurs impitoyables…” Cécile Logeay, chef de projet pour Vice, a gracieusement répondu à mes questions…

Marsatac, le débrief’ (2) : From the east to the west

Résumé du deuxième jour à Marsatac : pour être dans le contexte, nous sommes vendredi, on s’est couchés aux alentours de 7h du matin après une virée dans la ville afin de faire connaître à notre ami Maxence de Ricard Live Music les joies des nuits marseillaises. Vendredi, pour le deuxième soir, la Friche s’agrandit et dévoile son esplanade ainsi que la salle de la Cartonnerie. On établit un plan de la soirée : Qui voir dans quel ordre ? Comment s’organiser ? On investit donc la Cartonnerie qui accueille du lourd, dans l’ordre Stupeflip, Xzibit, Theophilus London et Brodinski.

{Interview} The Shoes, Marsatac et la superstition

Guillaume et Benjamin, les 2 Rémois de The Shoes, avaient déjà répondu à mes questions en juin dernier (lire l’interview ici). De passage à Marseille pour le premier soir de Marsatac, ils ont fait trembler le Cabaret Aléatoire accompagnés de leurs percussionnistes, Das Galliano. On les retrouve dans l’Espace Presse, entourés de l’équipe de Plato-Radio pour une interview où ils nous parlent de leur album, de Londres, où ils l’ont enregistré, de leurs manies, de leurs goûts musicaux, de superstition… et aussi, entre autres, de sushis. Pour comprendre, écoutez la suite.

Marsatac, le débrief’ : Portfolio en musique

Marathoniens : voilà qui pourrait qualifier les quatre jours passés à Marsatac. La tête pleine de souvenirs, les pieds usés, les poumons enfumés, mais plus que jamais avec le sourire, on reprend lentement des forces, on fait le point. Pas facile de se rappeler de tout, vu nos longues journées passées de 15h environ jusqu’à 6h du matin sur place, voguant entre l’espace pro, l’espace presse, le bar, le Cabaret Aléatoire, la Salle Seita, l’Esplanade, la Cartonnerie, avec quelques passages par la rue intérieure. On commence en douceur avec quelques clichés pris sur place et une petite playlist des chansons qui nous ont marquées, sur la route vers la Friche ou en repartant au petit matin…

Marsatac prend l’Aires (Libres)

Dimanche, Aires Libres a investi le Parc Longchamp à Marseille en le parant de ses bonnes ondes musicales. Depuis 2005, le festival gratuit en plein air, réunit petits et grands dans un cadre privilégié, avec des ateliers pour enfants, des “nouvelles musiques”, un brunch et des massages relaxants (payants). Pour célébrer la fin du festival Marsatac, la fin de l’été, Aires Libres a invité Nina Kraviz et Rone, ainsi que de nombreux DJs marseillais, notamment Paul (Virgo Music) et L’Amateur (Radio Grenouille). Ils nous dévoilent leur playlist…

En route pour les festivals (11/11) : Marsatac

Dernier épisode du dossier des festivals 2011 avec une escale à Marseille qui accueille à la fin de la semaine la treizième édition de Marsatac. Un chiffre porte-bonheur lorsqu’on découvre l’étonnante programmation de cette année. Trois jours de fête en musique : l’été se terminera officieusement dimanche soir, après le festival Marsatac. Sur les 4 scènes de la Friche la Belle de Mai se relaieront têtes d’affiches, talents locaux et artistes confirmés. Et pour prolonger la fête, Aires Libres s’invite à Marsatac dimanche 2 octobre et fera danser le Parc Longchamp au son de Nina Kraviz…

Septembre ou la folie éclectique de Marsatac

Après avoir reçu Etienne de Crécy, Archive, Au Revoir Simone ou We Have Band l’an dernier, le festival marseillais Marsatac a réussi pour cette nouvelle édition son pari initial : proposer une programmation éclectique, passant de l’électro au hip hop. Dro Kilndjian, programmateur du festival, a répondu aux questions de Madmoiselle Julie. Il nous explique les enjeux de cette édition qui s’est déroulée à la Friche la Belle de Mai.

Place à cette douzième édition, avec des têtes d’affiches internationales et des artistes de la scène locale.

Marsatac fait vibrer l’électro aux Docks des Suds

Pour sa 11e édition, le festival marseillais Marsatac avait une programmation étonnante. Outre la polémique suite à son déménagement contraint et forcé -du J4 vers les Docks des Suds-, il a réussi cette année encore son pari : faire découvrir au public des groupes méconnus, et inviter de grandes têtes d’affiche comme Etienne de Crécy ou Archive.